• Origine et évolution de la vie


    la formation de la Terre a 4,55 milliard d'année.

    Si du graphite dans des métasédiments au Groenland daté de 3,8 milliards d'année semble être d'origine organique, des fossiles certains d'archéobactéries ont pu être daté de 3,46 milliard d'année. Les archéobactéries sont des procaryotes, des cellules sans noyau ni organite, tout comme les eubactéries (étymologiquement les vraies bactéries). Les cyanobactéries sont des eubactéries particulière, capable de fixer l'azote et de le transformer en énergie, libérant de l'oxygène par photosynthèse.

    Les eucaryotes, organismes cellulaires, sont apparus vers 2,5 à 2,1 milliard d'année. Les eucaryotes pourraient descendre de cyanobactérie.

    Vers 700 à 600 millions d'année, apparaissent les premiers métazoaires, tel les cnidaires (méduses) ou des " vers ".

    A la fin du protérozoïque, le développement de la vie s'accélère. Vers -570 millions d'années, apparition d'organismes triploblastiques, à plus de deux couches cellulaires (découvertes de fossiles en Chine au début des années 1990'). La faune d'Ediacaran (période s'étalant de -635 à -542 Ma) est particulièrement évoluée et varié, mais toujours représenté par les organismes à corps mou. Le site classique de la faune d'Ediacaran, Mistaken point, en Australie, est daté de -565Ma.

    Vers 542/530 millions d'années se produit ce que l'on nomme " l'explosion du cambrien ", une très importante diversification des formes de vie. Si certaines donnerons des phylum bien connu, tel les arthropodes, d'autres formes de vie resterons uniques et sans descendance. Le gisement de Burgess au Canada est le site type de cette période. La vie dans les mers fut marquée par la multiplication d'animaux à parties dures. Les premiers phylums comme les arthropodes (trilobites), les brachiopodes, les mollusques, les pelmatozoaires, les spongiaires et les chordés apparurent et modifièrent la composition des biotopes des fonds marins. De tous ces nouveaux venus, les trilobites furent les plus importants. Leurs membres articulés marquaient un progrès sur le plan de la mobilité. Le plus ancien vertébré sans mâchoire, le Haikouichthys, date également de cette période, il a été découvert dans la faune de Chengjiang au Yunnan. Les graptolites deviennent communs durant le Cambrien supérieur. La vie sur terre n'est représentées que par des micro-organismes marins, probablement des lichens (symbiose d'une algue et d'un champignon).

    L'Ordovicien débute avec un épisode d'extinction d'espèces (apparemment ?) peu importante. Il se finit par une extinction massive. Selon les estimations, une centaine de familles biologiques ont disparues pendant cette crise. Les groupes les plus atteints sont les bryozoaires, brachiopodes, coraux solitaires, les trilobites qui sont particulièrement touchés, graptolites, échinoïdes, crinoïdes. En tout, on estime qu'un tiers de faune marine à disparue (près de 60% de la vie disparaît pour d'autres). Les couches géologiques de l'Ordovicien contenaient une vie abondante et renferment aujourd'hui de vastes réservoirs de pétrole et de gaz dans certaines régions du monde.

    Au Silurien (-444/-416 Ma), les premiers vertébrés à mâchoire apparaissent et les plantes vasculaires partent à la conquête de la terre.
    Au début du Dévonien (-416/-359 Ma), les ancêtres des ammonites apparaissent. Ce période verra apparaître les vertébrés tétrapodes, vers 370 Ma, plus particulièrement les lussamphibiens. Les trétrapodes comprennent les lussamphibiens et les amniotes.

    Fin Dévonien, au passage Frasnien-Famennien, vers 365 Ma, survient une très importante extinction de masse. Les taxons les plus affectés sont ceux des eaux chaudes et tropicales, notamment les écosystèmes récifaux, qui sont encore fortement touchés (stromatoporidés, rugueux et coraux tabulés), ainsi que les poissons primitifs marins nettement plus touchés que les poissons d'eaux douces. Les groupes les plus atteints sont les algues flottantes, les trilobites (une seule famille survit), les brachiopodes, les conondontes, les acritarches et les ammonoïdes. En tout, environs 70% des taxons marins sont morts.

    Le carbonifère (-359/-299 Ma) connaître un vif développement des plantes, notamment des ptéridophytes (fougères), lycopodes et des prêles. Des arthropodes volants apparaissent également, notamment sous la forme de grosses libellules. Parmi les évolutions majeure de ce système, l'émergence dans les amniotes des sauropsidés, vers -315 Ma, et des synapsides. Les sauropsidés comprennent les chéloniens ou tortues, et un autre groupe comprenant les lépidosauriens dont les serpents, lézard et iguane font partie et les archosauriens, dont font partie les crocodiles, les dinosaures et les oiseaux. Les synapsides comprennent les reptiles mammaliens (par exemple le fameux dymétrodon) et les mammifères.

    A la fin du Permien (-299/-251 Ma) se produit la plus grande extinction de masse que la Terre ait connu :

    - plus de la moitié des familles d'organismes marins (57%) présentes au Permien ne se retrouvent plus au Trias ;
    - les vertébrés terrestres sont touchés : 70 à 77% des familles disparaissent, dont 78% des de reptiles et 67% des amphibiens ;
    - les insectes qui connaissent un pic de diversité au Permien supérieur voient le nombre de famille chuter de 63% au Trias inférieur (ceci est encore très discuté) ;
    - 91% des espèces marines disparaissent : 98% des ammonoïdés (extinction des goniatites), 93% des ostracodes, 85% d'espèces de bivalves, 98% des échinodermes (crinoïdes, cystoïde, blastoïde), ainsi que les trilobites, brachiopodes (disparition de 50 familles, soit 90% des genres), bryozoaires, coraux tabulés et rugueux, foraminifères fusulinidés.


    Au Trias, apparaissent les premiers dinosaures, vers -235 Ma, les premiers archosaures volants (ptérosaures), les premiers mammifères ovipares, vers -220 Ma, et les premiers crocodiles…

    Les oiseaux, évolution des archosaures, apparaissent vers -150 Ma, au Jurassique. Le Jurassique, et le Crétacé qui le suit, seront " le temps des dinosaures "…

    Un peu plus tard, vers - 135 Ma, les angiospermes, ou " plantes à fruits ", commencent à se développer, de même que se développent les mammifères marsupiaux. Les serpents rampent quant à eux vers - 100 Ma…

    A la fin du Crétacé, vers - 65 Ma, survient la crise biologique la plus connue du grand public car elle met fin au règne des dinosaures, des reptiles volants et beaucoup de reptiles marins. Avec eux ont disparu une grande partie du plancton marin, les ammonites et presque tous les habitants des fonds marins incluant les rudistes et les mollusques bivalves. Etonnamment, la plupart des mammifères, des oiseaux, des insectes, des tortues, des crocodiles, des lézards, des serpents, des poissons, de certains coraux et des amphibiens ne furent que peu affectés.

    Rapidement, profitant notamment des niches écologiques libérées, les mammifères placentaires apparus à la fin du Crétacé prolifèrent particulièrement, donnant les mammifères " modernes " à l'Eocène, vers- 55/-50 Ma. Les primates naissent vers - 55 Ma. Les primates comprennent les Strepsirrhiniens, comprenant notamment les lémuriens, et les Haplorhiniens, comprenant notamment les hominidés. L'Homo Sapiens Sapiens naîtra à travers des préhominiens vers - 7 Ma (Toumaï), des Autralophithèques vers 3,18 (Lucy), des Homos Habilis, 2,5 à 2 Ma, des Homos Ergaster, 2,2 Ma, et encore des Homos Erectus, 2 Ma…

    par F. Delporte


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  • La préhistoire humaine

    S’il est une aventure qui captive les hommes, c’est bien celle de ses origines : l’histoire de l’Humanité.

    Les Préhominiens…

    Tout commence quelque part en Afrique de l’Est vers la « Rift – Vallée », cette zone où le sol bouge et se déforme sans cesse, impliquant des variations importantes aux niches écologiques. Les primates de l’époque,
    - 6 à 7 millions d’années, donnèrent naissance à des formes multiples et adaptées aux nouvelles conditions du milieu.
    Ainsi, la recherche actuelle qu’elle passe par «Adam» ou «Toumai» se focalise présentement dans ce secteur de l’Afrique.

    Les Australopithèques…

    Tout commence par une première forme humaine et donc bipède : LUCIE. C’est un Australopithèque de 3 millions d’années. Cette espèce est très petite, 1,20 à 1,40 mètre. Son régime alimentaire est déjà omnivore. Elle apprendra vers (- 2,5) million d’années à casser du caillou en l’occurrence du galet dit éclaté, mais pour le moment elle se contente d’aménager ce qui lui tombe sous la main : branches et ossements qu’elle utilise comme d’une arme. La pérennité de cette espèce durera prés de 2,5 millions d’années et s’éteindra ou elle est née : en Afrique.

    L’Homo habilis…

    Mais surgit l’Homme "vrai" qui est à la source de tout le rameau humain : l’Homo habilis. Cet individu est plus grand (1, 50 mètre) , il apprend rapidement à confectionner des outils sur des galets (galets aménagés). Ces outils encore visibles dans les fouilles témoignent du niveau de son intelligence certaine. Son berceau est là encore africain. On l’appelle Rudolfensis de la région du Kénia. Cette espèce sera suivie d’une autre très prometteuse pas beaucoup plus tard : l’Homo ergaster ou "les racines de l’Homo erectus".

    L’Homo érectus…

    C’est à partir de l’Homo erectus que la civilisation commence.
    Il va conquérir bon nombre de territoires variés, chauds ou froids. Il va commencer comme son prédécesseur la taille des galets : chopper et chopping-tool, il y a 2 millions d’années !
    C’est lui qui beaucoup plus tard va « inventer » le silex. Les plus vieilles utilisations du silex par l’Erectus se situent vers moins 1 million d’années en Chine (voir peut-être plus selon les dernières découvertes).
    L’homme choisira le silex pour trois raisons essentielles :

    1) c’est un matériaux abondant qu’il peut trouver aux aléas de ses déplacements.
    2) une fois éclaté, le silex possède des qualités de tranchant exceptionnels.
    3) la genèse sédimentaire de cette roche lui confère une excellente homogénéité facilitant grandement la taille.

    C’est lui qui réalisera aussi les premiers habitats élaborés vers (- 1,8) millions d’années.
    L’Erectus va conquérir la plupart des continents qui lui sont accessibles par voie pédestre, excepté donc l’Amérique et l’Australie.
    Les plus anciennes souches d’Erectus vont donner d’autres rameaux aux variétés humaines : à (- 1,5) million d’années vont se distinguer de cette souche d’Homo erectus ergaster, trois grandes lignées :

    1) une conduisant directement à l’homme moderne, l’Homo sapiens
    2) une autre permettant l’épanouissement des Neandertals
    3) une dernière envahissant l’Asie et l’Orient : les Pithécanthropiens.

    Quelque part en nous il y a forcément de l’Erectus qui sommeille.

    Les théories récentes de l’évolution humaine semblent accepter une parenté si proche de ces trois rameaux que certains chercheurs n'en font pas des espèces mais une seul avec des variations. Il faut comprendre que la spéciation sur deux millions d’années malgré l’isolement poussé de certaines populations, n’a pas pu aboutir à des espèces caractérisées, nous nous trouverions donc en présence de groupes interféconds.

    Les Pithécanthropien

    Les pithécanthropiens se développent sur tout l’Orient. Certains caractères dentaires (incisives en pelle) se retrouvent encore chez certaines populations asiatiques. On les retrouve en Chine à Pékin, à Java Bornéo et Sumatra. Tous ces gisements furent fouillés au début du siècle dernier, mais ils font l’objet de recherches actives par des spécialistes locaux. Les surprises seront de taille d’ici peu.
    Notons la présence dès 800 000 ans de foyers dans ces gisements. Toutefois il est difficile d’établir un lien entre l’homme présent et sa capacité à créer du feu. La prédominance des volcans avoisinants tendrait à faire accepter la thèse d’un prélèvement à la source de laves ou de braises.
    Les pithécanthropes et Sinanthropes on développés la taille du silex, mais sans jamais la maîtriser. Ils ont produit de grand nombres d’outils très peu caractérisés. On peut qualifier cette industrie d’opportuniste. Les éclats étaient souvent grossiers plus épais et larges que longs et fins. C’est une taille dite «clactonienne».

    L’Homme de Neandertal

    C’est l’Homme de Neandertal qui pour l’heure fut l’inventeur de la technique élaborée du travail du silex. C’est la technique dite LEVALLOIS, du nom de la localité des premières découvertes : Levallois-Perret en région parisienne. Cette technique lui permettra de réaliser de véritables chef-d’œuvres sur silex.
    C’est vrai, reconnaissons le-lui, l’Homme de Neandertal a tout maîtrisé pour ne pas dire tout inventé.
    On lui reconnaît la maîtrise du feu : technique par percussion sur la marcasite (minéral naturel sulfuré et ferreux Fe2S).
    Il est le premier à s’intéresser aux possibilités que peuvent offrir les os travaillés. Il confectionne bon nombre de pointes, lissoirs, poinçons etc. sur des os longs ou des bois de renne ou moins communément sur de l’ivoire de mammouth.
    Rendons à Neandertal ce qui appartenait à Cro-Magnon. Neandertal fut aussi l’inventeur, sans contestation possible de l’Art. Les plus anciennes gravures et sculptures qui furent découvertes en Russie et en Tchécoslovaquie sont de facture néandertalienne. C’est en France à Arcy/Cure prés de Lyon que Neandertal développe sont art. De nombreuses formes élaborées sur os, dents, ou coquillages furent découvertes. Le travail de rainurage ou perçage de ces matériaux fut réalisé en vu de fabriquer des pendeloques, colliers et bracelets.
    Neandertal fut le premier à se rendre compte de la supériorité de pénétration de l’os dans les chairs du gibier. Il confectionna à cette même époque de superbes sagaies en os ou en bois de renne.
    Dès le début l’Homme de Neandertal eut la bougeotte, il fut aussi l’inventeur de la tenue vestimentaire élaborée. Grâce à ces perçoirs en os il confectionna des protections en fourrures pour braver les terres hostiles et froides qu’il devait visiter : le nord et l’est de l’Europe. Il s’induit de cette capacité à se protéger une adaptation ou une prédisposition au froid mais surtout il déduit la possibilité de construire en peaux de bêtes des habitats mobiles.
    Ces peaux étaient tendues sur des perches de bois soigneusement travaillées à l’aide de silex.
    Neandertal ne brillait pas que de par son travail de la pierre. Il apparaît incontestable, depuis la ressente découverte d’un javelot quasi olympique dans une tourbière Suisse qu’il maîtrisait totalement le travail sur bois.
    Neandertal fut le premier à appréhender la vie après la mort, il s’en suivit un culte et probablement des croyances organisées autour d’un grand prêtre : le Chaman. On retrouve dans la vallée de Neander prés de Düsseldorf et disséminées dans toute l’Europe de nombreuses sépultures accompagnées de rituels à l’ensevelissement : ocres saupoudrées, fleurs en offrande, outils et défenses de mammouth enterrés avec le défunt.
    De toute évidence si la race de Neandertal a aujourd’hui disparu, il faut reconnaître qu’il nous a laissé les bases de notre civilisation moderne avec tout ce quelle contient d’us et coutumes.

    L’Homo sapiens

    C’est sur les rives de la Méditerranée que va apparaître le vrai Homo sapiens sapiens. Il va se dégager probablement d’une souche d’Erectus. Dans le site de Zuttiyeh prés de la mer morte a été exhumé un fragment de crâne qui possède des caractères intermédiaires entre Erectus et Homo sapiens.
    Il faut aussi noter que Homo sapiens et Neandertal vont longtemps se côtoyer en Palestine, depuis (- 100 000 ans) à (- 50 000 ans).
    La taille de l’Homo sapiens est importante mais très variable aux cours des âges et des secteurs géographiques. La plupart des hommes de Cro-Magnon mesuraient de 1,60 m à 1,88 mètre.
    Les techniques et coutumes de ces premiers sapiens furent identiques à celles des néandertaliens.
    L’Homo sapiens sapiens prendra le relais de toutes ses découvertes et les perfectionnera au maximum.
    Ainsi à partir de (-32 000 ans) date de début d’extinction reconnue pour Neandertal, nos Cro-Magnon vont s’ingénier dans tous les domaines.
    La taille sur silex va progresser jusqu’à l’extrême que peut supporter les limites de la matière : feuilles de laurier, pointes à cran, technique lamellaire avoisinant les 40 cm de longueur au néolithique, pointes de flèches ultra-miniaturisées, etc.
    Le travail sur os par l’invention de l’aiguille à chas, va perfectionner les coutumes vestimentaires. Un travail de couture très fin et précis permettra la création d’habits à la fois plus résistants, plus légers et plus chauds.
    Par cette même technologie, les habitats nomades suivront la même évolution, donc plus léger, plus chaud et surtout , transportables : les tipis du paléolithique inférieur au mésolithique.
    Le magdalénien va adapter la technique du travail sur os pour fabriquer des outils de pêche et de chasse très performants : preuves en sont les harpons, les sagaies et les fouënes.
    Peut-être pour ne rien oublier de lui il nous laisse bien à l’abri des grottes profondes et fermées comme des tombeaux, ses merveilleux témoignages de l’Art pariétal polychrome. Etaient-ce les icônes des sorciers puissants de tribus en recherche de nourritures ou de l’adoration au culte de la fécondité ? Pourquoi ne s’agirait-il pas de l’Art pour l’Art ? Une simple communication de l’exécuteur de l’œuvre pour son égaux ou envers l’homme du passé, l’homme à venir ou l’homme de l’au delà, l’«homme esprit»…

    L’EDEN était sur TERRE

    Depuis la période de Neandertal à Cro-Magnon il n’a jamais été observé sur les squelettes humains extraits des gisements ou sépultures, de séquelles osseuses dues à des blessures par armes. Seules sont constatées quelques morts accidentelles ou par suites de maladies. Les populations de ces temps reculés sont si numériquement faibles (300 habitants pour la période magdalénienne en Dordogne) qu’il apparaît évident que le souci principal de l’homme n’était pas de se faire la guerre. Le nomadisme était de rigueur, il fallait suivre tous ensemble le garde à manger ou périr. Non rien de guerrier ne transpire sur les parois des grottes ni sur les sculptures des bâtons de commandement ni sur les gravures sur calcaire ou ivoire de mammouth, l’Homme était trop occupé à assurer sa survie.
    Cet état de grâce changea avec le changement de régime climatique qui produisit le réchauffement de la planète. Il induisit une sédentarisation des groupes et une appropriation territoriale. Qui veut conserver son bien le défend et qui convoite celui d’autrui doit déclarer la guerre. Ainsi naquirent les premières armées composées bien évidemment du sexe fort. Ce fut le début de la fin, dès le départ du néolithique.
    Depuis l’histoire se répète sans cesse et l’Homme refait les mêmes erreurs comme par amnésie.
    L’Eden promise n’est-elle pas du passé ?

    Alain Morala


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