• La Pro League retient MP&Silva pour la vente des droits tv.

    MP & Silva

    La Jupiler Pro League choisit l’agence MP & Silva pour la vente des droits TV.

    MP & Silva , société de droits multimédias à l’international, a annoncé aujourd’hui qu’elle a été nommée conseiller de la Jupiler Pro League pour une période de six saisons , à partir de saison 2014/15 .

    Cette dernière jouera un rôle de conseiller pour la ligue, elle élaborera le cahier des charges pour la consultation et garantira à la Pro League un montant minimum pour la vente des droits.

    L’ accord mondial couvre tous les matches de la Jupiler Pro League sur toutes plateformes ou dispositifs national et international.

    Michel Dupont , le président de la Jupiler Pro League a déclaré:

     " Je suis très heureux de ce nouveau partenariat car il est entièrement en ligne avec notre stratégie à long terme . Nous allons grandir en tant qu’organisation , mais aussi la concurrence va en bénéficier, la Jupiler Pro League sera élargit sa portée internationale . Ce partenariat va donc renforcer nos stratégies . Les clubs ont choisi ce partenariat pour les fans . Avec l’argent supplémentaire de la qualité de notre concurrence va aller mieux et le football belge peut participer au niveau international . Naturellement , ce partenariat ne nous rend pas en concurrence avec les grands pays encore , mais il sera avec quelques autres petits pays . Cela permettra également de nous en mesure d’attirer les meilleurs joueurs qualitatives à la Jupiler Pro League  " .

    Tous les clubs de Pro League ont votés la proposition de l’agence italienne, à l’exception du standard de Liège.


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  • Handball : beIN Sports acquiert les droits mondiaux de 2015 et 2017

    Espagne handball

    c’est donc sans trop de surprise que beIN Sports officialise l’acquisition des droits internationaux des championnats du monde de Handball de 2015 et 2017.

    Le président de la Fédération internationale de handball (IHF), Hassan Moustapha, et l e président directeur général de beIN Media Group Nasser Al-Khelaifi, ont signé un partenariat le 20 février au siège de l’IHF.

    Le contrat comprends les droits des championnats du monde masculins de 2015 au Qatar et 2017 en France , ainsi que féminins de 2015 au Danemark et de 2017 en Allemagne.

    Les antennes mondiales de beIN Sports seront en charge de la production télévisuelle et de la distribution internationale de ces événements .

    Hassan Moustafa, le président de l’IHF , a déclaré :

    « Nous sommes fiers de céder les droits de retransmission à beIN SPORTS. Le groupe de télévision peut dès à présent travailler à la rétrocession de ces droits, afin de garantir une exposition maximale de ce sport auprès de tous les passionnés de handball du monde. Notre partenariat avec beIN SPORTS nous permettra de profiter du dynamisme et de l’influence de son réseau international ».

    Canal+, qui détenait les droits en France, voit un nouveau droit filer de son portefeuille pour rejoindre la chaîne qatarie.


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  • Des chaînes algériennes offshore : Ces télés qui font dans l'informel


    Les téléspectateurs algériens découvrent brusquement, coup sur coup, une avalanche de chaînes de télévision privées dans un univers audiovisuel national pourtant hermétiquement cadenassé. Les Chourouk TV, Ennahar TV, El Djazaïria, Dzair tv,  Hoogar tv, Al Atlas tv, El Adjwaa tv, Samira tv, Djurdjura tv, l'index tv,  et d'autres chaînes volent la vedette à la chaîne gouvernementale Al Yatima (EPTV). Mystère. Sous quels cieux toutes ces chaînes arrivent-elles à émettre en direction des Algériens ?

    Contournant l’interdit – la loi algérienne n’autorise pas l’ouverture de l’audiovisuel au privé  jusqu'à maintenant la loi est signée mais pas encore entré en vigueur– des acteurs du champ médiatique et autres hommes d’affaires ont trouvé la parade pour lancer des chaînes privées en «délocalisant» leurs studios au Moyen-Orient. Des chaînes privées algériennes qui émettent à partir de la Jordanie avec des équipes de journalistes qui travaillent en Algérie… Une ouverture de l’audiovisuel offshore.

    A qui appartiennent ces chaînes ? Quel est leur statut ? Comment leurs équipes rédactionnelles travaillent-elles en Algérie avec des bureaux d’enregistrement ? Comme son nom l’indique, Chourouk TV est une déclinaison audiovisuelle du quotidien arabophone éponyme. Chaîne généraliste, cette télévision est de «droit étranger», nous a indiqué son patron, Ali Fodhil. «Nous sommes une chaîne étrangère ; notre siège est en Jordanie et émet ses programmes avec la collaboration d’une société intermédiaire, Jordan Media City (JMC)», précise-t-il. Chourouk TV est hébergée par le satellite arabe Nilesat à raison de 100 000 dollars par an. Comment se fait donc le paiement du satellite appartenant exclusivement à un patron basé à Alger ? «Jusque-là, on couvre les frais d’hébergement par les SMS qu’envoient les téléspectateurs. C’est la clause du contrat passé avec JMC», explique Fodhil.

    Ce dernier a souligné, en ce qui concerne le bureau en Algérie, que la chaîne a déposé une demande d’accréditation auprès du ministère de la Communication pour permettre aux journalistes d’exercer. «Nous sommes toujours dans l’attente d’une réponse», a-t-il indiqué. Pendant ce temps, les journalistes de cette chaîne couvrent les activités publiques et même officielles. La chaîne a diffusé normalement, avant-hier, la conférence de presse conjointe du ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, avec le secrétaire général de la Ligue arabe, Nabil Al Arabi. Des responsables et des ministres se sont exprimés au micro de cette chaîne.
    «Nous couvrons normalement des activités publiques et d’autres, officielles, avec un ordre de mission en tant que journaliste du quotidien Ech Chourouk. Nous bénéficions d’une certaine facilitation, mais parfois les services de police nous empêchent de travailler», nous a confié un journaliste.

    Ennahar TV est cette autre chaîne d’information qui émet à partir de la Jordanie une fois les émissions enregistrées à Alger. Son patron, Anis Rahmani, précise qu’il s’agit bel et bien «d’une chaîne de droit étranger et ses journalistes exercent en tant que correspondants d’un organe étranger, accrédités par les autorités compétentes comme le prévoit la loi de 1990». «Il n’y a pas d’ouverture du champ audiovisuel en Algérie. La législation ne le permet pas. Il y a par contre un discours qui favorise cela, mais concrètement il n’y a rien», a déclaré M. Rahmani, qui est également directeur du quotidien arabophone Ennahar. Il n’est pas l’unique actionnaire de la chaîne, dit-il : «Nous sommes deux actionnaires. Je m’occupe de l’équipe rédactionnelle et mon coactionnaire prend en charge le règlement de la facture d’hébergement du satellite.» M. Rahmani n’a pas jugé utile de révéler l’identité de son associé, se contentant de souligner son origine arabe.

    El Djazaïria est en ce moment à l’essai et se définit comme une télé de variétés ; elle émet également à partir de la Jordanie. Cette floraison de chaînes privées serait-elle un prélude à un nouveau paysage audiovisuel ? Ou s’agit-il d’une ouverture «organisée» et «contrôlée» par le pouvoir politique d’un secteur aussi sensible que l’audiovisuel ? Des observateurs avertis estiment que les nouvelles chaînes privées, «dont les initiateurs sont à la périphérie du pouvoir, seraient des versions revues et adaptées de la chaîne gouvernementale». Un écran de fumée.

    Cependant, il est à souligner que l’emballement suscité par la promesse du chef de l’Etat, le 12 janvier 2011, d’ouvrir le champ audiovisuel au privé s’est vite estompé. Lancé au public à la faveur de la poussée du Printemps arabe, le gouvernement de Bouteflika est pourtant revenu sur sa décision une fois passé le vent des révoltes.


    Émergence de nouvelles chaînes privées algériennes

    Des chaînes TV offshore pour contourner le verrouillage

    Habitués à un paysage audiovisuel terne, composé de chaînes téléguidées par le pouvoir, les Algériens découvrent, ces derniers mois, de nouveaux canaux de télévision qui leur sont adressés.

    Les nouvelles chaînes empruntent des voies détournées pour diffuser leurs programmes, mettant ainsi les autorités publiques devant le fait accompli. La majorité des chaînes satellitaires n’ont pas – pour l’heure ? – d’existence légale. Elles ont profité des offres sur les ventes de fréquences sur Nilesat et Atlantic Bird pour affirmer leur présence sur le paysage médiatique.
    Des chaînes comme El Djazairia, Echourouk TV, Ennahar et, plus récemment, El Adala, ont réussi à obtenir le signal grâce à des opérateurs privés spécialisés dans la commercialisation de bandes passantes et de services de diffusion.

    Le fait est que de nombreux canaux du satellite Atlantic Bird (notamment les couloirs 4, 5, 6 et 7) sont restés vacants. Raison pour laquelle il est possible de voir, sur de nombreuses fréquences de Nilesat, des publicités pour vendre des droits de diffusion. Pour attirer des clients, les opérateurs arabes offrent les tarifs les plus bas du marché. Pour le reste, dans la mesure où les chaînes s’acquittent des droits de fréquence envers les opérateurs privés, ces derniers ne s’offusquent pas du fait qu’ils ne détiennent pas de documents administratifs pour asseoir leur légitimité ni de la ligne éditoriale choisie par les diffuseurs.

    «Ces chaînes envoient leurs programmes par satellite vers un serveur de diffusion placé à l’étranger, généralement en Jordanie, au Qatar ou au Liban. Certains ont loué des petits bureaux pour veiller au bon fonctionnement de cette opération», nous explique un fin connaisseur du secteur. Il souligne que les responsables des nouvelles chaînes satellitaires louent les services d’un fournisseur, qui fait office de serveur de diffusion, dans les pays qui hébergent leur fréquence. «Les programmes sont diffusés via internet, grâce à la voix IP. Mais cette méthode a ses limites : les programmateurs ne peuvent pas faire d’émissions en direct. Quoi qu’ils fassent, il y aura toujours un décalage de deux heures», nous explique-t-on.

    La diffusion est de piètre qualité en raison, indique-t-on, d’un débit assez faible. «C’est là l’un des points faibles de l’ENTV, affirme un initié, dont les images paraissent assez ternes. Les débits de ces fréquences oscillent entre 2 à 3 mégaoctets alors que les standards tournent autour de 5 à 7 mégaoctets.» Autre astuce pour créer une chaîne en «offshore» : certains canaux ont choisi de s’installer à Londres. Les conditions de création de chaînes TV édictées par l’Ofcom (Independent regulator and competition authority for the UK communications industries), l’équivalent du Conseil supérieur audiovisuel (CSA) français, y sont assez souples, à condition de résider au Royaume-Uni.
    C’est, en tout cas, le pari de la chaîne El Maghribia, dirigée par le journaliste Salim Salhi et soutenue par des hommes d’affaires arabes. Ce qui rappelle le cas de la chaîne El Mustakilla, créée par El Hachmi Hamdi, devenu l’un des hommes politiques les plus controversés en Tunisie.


    maintenat, l'algérie compte plus de 20 chaînes de télévision avec 5 publiques (La terrestre, canal algérie, algérie 3, chaine 4 tamazight et chaine 5 coran) avec 7 chaine appartenent à un journal (echourouk tv, ennahar tv, el adjawaa tv, KBC al khabar, l'index tv, Dzair tv appartenant au groupe le temps de l'homme d'affaire Heddad, samira tv chaine culinaire apàpartenat à la maison d'édition du magazin culinaire samira, prochainement el bilad tv et kawaliss tv à cessé sa diffusion), en plus de el atlas tv, djurdjura tv, hogar tv, numidia news basé en suisse,  à ceux-ci on ajoute les chaines de publicité dzair shop,  dzair 24, mazaya (les deux derniers ont cessé sont diffusion) et les chaines du groupe sahli (showroom, ess tv et dzair pub), en plus de la chaine tunisienne du groupe karoui & karoui en parte,ariat avec mediaset l'italienne (nessma al khadra) et le groupe berbère -tv (btv, junesse et music) et la chaine beur tv, basé sur le satellite nilesat, er quelques chaines sur arabsat et hotbird, qyuelle avenir attend-ils ces chaines?
     




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  • Actualité des médias: mise à jours de fin Janvier 2014:

    SES-Astra et Eutelsat signe une série d'accords sur la position orbitale 28.5°Est 

    Astra et Eutelsat annoncent dans un communiqué de presse commun, avoir conclu une série d'accords parmi lesquels le règlement exhaustif de la procédure judiciaire concernant l’exploitation de la position orbitale 28,5° Est ainsi que la mise en place, à long terme, d’éléments de nature commerciale et de coordination de fréquences.

    Les deux grands opérateurs satellite se disputaient le droit d'utiliser des fréquences sur la position orbitale 28,5° Est, généralement utilisée en direction du Royaume Uni et de l'Irlande. Astra a récupéré des fréquences qu'utilisait jusqu'à présent Eutelsat en vertu d'un accord signé avec Deutsche Telekom. La justice européenne a donné raison à Astra et Eutelsat a cessé, le 3 octobre dernier, l’exploitation de ces fréquences qui sont, depuis cette date, exploitées par Astra.

    Mais, comme quoi entre gens de bonne volonté, on peut s'entendre même si on est concurrent, Eutelsat va louer et commercialiser des canaux sur les satellites Astra situés sur le 28.5°Est.

    A la suite de la résolution de ce litige, Eutelsat a estimé l’impact sur son chiffre d’affaires pour l’exercice fiscal 2013-2014 à environ -5 millions d’euros. Il n’y aura aucun impact sur le chiffre d’affaires des deux années suivantes. Eutelsat publiera ses résultats du premier semestre 2013-2014 le 14 février 2014.

    Enfin, les deux sociétés ont signé un autre accord qui va permettre aux deux parties d’optimiser l’usage de leurs droits respectifs à un certain nombre de positions orbitales sur l'Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique. Il confirme et précise en termes techniques les couvertures géographiques et les niveaux de puissance de transmission autorisés pour les fréquences à ces positions orbitales.

    Les ordinateurs SES ou Eutelsat menacent avoir conclu une série d'accords parmi lesquels le règlement exhaustif la procédure judiciaire concernant l’exploitation position orbitale 28,5° Est ainsi que la mise en place, à long terme, d’éléments de nature commerciale ou de coordination de fréquences. Le dernier accord met fin à la procédure d'arbitrage entre Eutelsat ou SES initiée en octobre 2012 auprès de la Chambre de Commerce Internationale (CCI) de Paris. Cette procédure portait sur un droit d'utilisation de 500 MHz de bande passante à la position orbitale 28,5° Est. Eutelsat a cessé, le 3 octobre dernier, l’exploitation de ces fréquences qui sont, depuis cette date, exploitées pour SES. Le différend est maintenant réglé, SES continuant d'opérer ses satellites à cette position orbitale ou Eutelsat commercialisant, d’une manière indépendante, une partie de la capacité sur les fréquences précédemment contestées. Le deuxième accord entre les deux sociétés porte sur la location à long terme, pour Eutelsat, de ressources à la position 28,5° Est sur la flotte des satellites de SES. Eutelsat commercialisera en Europe, sur la flotte de SES, 125 MHz de bande passante (huit répéteurs) sur les 500 MHz ayant fait l’objet de la procédure judiciaire, ainsi que 250 MHz (12 répéteurs) qui ne figuraient pas dans la contestation. Ces 20 répéteurs seront exploités sur les trois nouveaux satellites déployés pour SES à 28.2/28.5° Est, Astra 2F, Astra 2E ou Astra 2G. Les deux premiers satellites ont été balancés ou sont en sevice. Le troisième devrait être lancé plus tard dans l’année. Le troisième accord porte sur une coordination technique de fréquences, en vertu des règles de l'Union internationale des télécommunications (UIT). Cet accord va permettre aux deux parties d’optimiser l’usage de leurs droits respectifs à un certain nombre de positions orbitales sur l'Europe, le Moyen-Orient ou l’Afrique. Il confirme ou précise en termes techniques les couvertures géographiques ou les niveaux de puissance de transmission autorisés pour les fréquences à ces positions orbitales.
    Les ordinateurs SES ou Eutelsat menacent avoir conclu une série d'accords parmi lesquels le règlement exhaustif la procédure judiciaire concernant l’exploitation position orbitale 28,5° Est ainsi que la mise en place, à long terme, d’éléments de nature commerciale ou de coordination de fréquences. Le dernier accord met fin à la procédure d'arbitrage entre Eutelsat ou SES initiée en octobre 2012 auprès de la Chambre de Commerce Internationale (CCI) de Paris. Cette procédure portait sur un droit d'utilisation de 500 MHz de bande passante à la position orbitale 28,5° Est. Eutelsat a cessé, le 3 octobre dernier, l’exploitation de ces fréquences qui sont, depuis cette date, exploitées pour SES. Le différend est maintenant réglé, SES continuant d'opérer ses satellites à cette position orbitale ou Eutelsat commercialisant, d’une manière indépendante, une partie de la capacité sur les fréquences précédemment contestées. Le deuxième accord entre les deux sociétés porte sur la location à long terme, pour Eutelsat, de ressources à la position 28,5° Est sur la flotte des satellites de SES. Eutelsat commercialisera en Europe, sur la flotte de SES, 125 MHz de bande passante (huit répéteurs) sur les 500 MHz ayant fait l’objet de la procédure judiciaire, ainsi que 250 MHz (12 répéteurs) qui ne figuraient pas dans la contestation. Ces 20 répéteurs seront exploités sur les trois nouveaux satellites déployés pour SES à 28.2/28.5° Est, Astra 2F, Astra 2E ou Astra 2G. Les deux premiers satellites ont été balancés ou sont en sevice. Le troisième devrait être lancé plus tard dans l’année. Le troisième accord porte sur une coordination technique de fréquences, en vertu des règles de l'Union internationale des télécommunications (UIT). Cet accord va permettre aux deux parties d’optimiser l’usage de leurs droits respectifs à un certain nombre de positions orbitales sur l'Europe, le Moyen-Orient ou l’Afrique. Il confirme ou précise en termes techniques les couvertures géographiques ou les niveaux de puissance de transmission autorisés pour les fréquences à ces positions orbitales.

    Arabsat distribue le bouquet soudanais sur 26° Est

    l'Organisation arabe des télécommunications par satellite (Arabsat) vient de signé un contrat avec la télévision soudanaise pour la distribution de ces chaînes sur la position orbitale 26° Est en exclusivité y compris les matchs de lique soudanaise de football.

    Turksat 4A en préparation

    l'opérateur satellitairre de télécommunication turque (Turksat) est dans les derniers préparatifs pour le lancement de son nouveau satellite Turksat 4A en position orbitale 420 Est du cosmodrome de Baïkonour

    Afghansat 1 débarque sur les 480 Est

    l'opérateur mondaile des télécommunication par satellite eutelsat vient de signé un contrat avec Afghanistan pourtant sur le lancement d'un premier satellite de télécommunication pour cette pays asiatique sur la position orbitale 480 Est pour les services de télédifusion et interconnexion et d'autres services à compté du février 2014.

    Eutelsat 16: nouveaux contrats

    Kanal D, B1TV et Trinitas vienaient de signés des nouveaux contrats de location des fréquences sur ce qatellite, ces trois chaines roumaines viennet au top de l'audiance en roumanie, ce satellite compte pas moins de 30 chaïnes roumaines.

    Africanews nouveau chaïne d'Euronews

    la chaïne d'information continue euronews basée à Lyon (France) et parlé plus de 12 langues vient d'annoncer le lancement d'une chaïne d'information continue basé en Brazavulle (Congo) déstiné au téléspéctateurs africaine (africanews) trés bientôt.

    le marché de la télé payente dans la zone MENA

    selon le dernier rapport de Digital TV Researchs, une cabinet spécialisé d'analyse de l'industrie des télévision, le marché de télévision payante en moyen orient et afrique du nord a de beau jours devant lui, ce segment va croitre de plus de 83% dans cette région entre 2010 et 2020 pour atteinde 5,60 milliards de dollar de recettes, sachant que 52% de revenus générées dans 6 ans vienderont essentiellement du marchés turcs et israeliens.

    Pay TV thrives in the Middle East & North Africa

    22 January, 2014


    Pay TV revenues in the Middle East and North Africa will grow by more than 83% between 2010 and 2020 to $5.60 billion, according to a new report from Digital TV Research. 

    The Digital TV Middle East & North Africa Forecasts report states that Turkey and Israel are expected to contribute 52% of the region’s pay TV revenues in 2020 total. From the $1,490 million pay TV revenues to be added between 2013 and 2020, Turkey will supply $359 million, Egypt $362 million and Saudi Arabia $257 million. Revenues in Israel will fall by $56 million over this period due to greater competition.

    Satellite TV will continue to dominate pay TV revenues, taking two-thirds of the 2020 total (similar to the 2013 proportion). Satellite TV revenues will reach $3.74 billion in 2020, up by $1 billion on 2013 and nearly double the 2010 total.

    **************************************************************************************************

    c'est la fin de cette revu de derniers actualités media, en vous donne un RDV trés bientôt...CH7_live.

    Les ordinateurs SES ou Eutelsat menacent avoir conclu une série d'accords parmi lesquels le règlement exhaustif la procédure judiciaire concernant l’exploitation position orbitale 28,5° Est ainsi que la mise en place, à long terme, d’éléments de nature commerciale ou de coordination de fréquences. Le dernier accord met fin à la procédure d'arbitrage entre Eutelsat ou SES initiée en octobre 2012 auprès de la Chambre de Commerce Internationale (CCI) de Paris. Cette procédure portait sur un droit d'utilisation de 500 MHz de bande passante à la position orbitale 28,5° Est. Eutelsat a cessé, le 3 octobre dernier, l’exploitation de ces fréquences qui sont, depuis cette date, exploitées pour SES. Le différend est maintenant réglé, SES continuant d'opérer ses satellites à cette position orbitale ou Eutelsat commercialisant, d’une manière indépendante, une partie de la capacité sur les fréquences précédemment contestées. Le deuxième accord entre les deux sociétés porte sur la location à long terme, pour Eutelsat, de ressources à la position 28,5° Est sur la flotte des satellites de SES. Eutelsat commercialisera en Europe, sur la flotte de SES, 125 MHz de bande passante (huit répéteurs) sur les 500 MHz ayant fait l’objet de la procédure judiciaire, ainsi que 250 MHz (12 répéteurs) qui ne figuraient pas dans la contestation. Ces 20 répéteurs seront exploités sur les trois nouveaux satellites déployés pour SES à 28.2/28.5° Est, Astra 2F, Astra 2E ou Astra 2G. Les deux premiers satellites ont été balancés ou sont en sevice. Le troisième devrait être lancé plus tard dans l’année. Le troisième accord porte sur une coordination technique de fréquences, en vertu des règles de l'Union internationale des télécommunications (UIT). Cet accord va permettre aux deux parties d’optimiser l’usage de leurs droits respectifs à un certain nombre de positions orbitales sur l'Europe, le Moyen-Orient ou l’Afrique. Il confirme ou précise en termes techniques les couvertures géographiques ou les niveaux de puissance de transmission autorisés pour les fréquences à ces positions orbitales.

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  • EUROSPORT, maintenant fait partie de la grande famille américaine Discovery Ccomunications

    Avec la vente d'Eurosport, il n'y a plus de grandes chaines internationale privée française
     

     

     C'est fait, la seule chaine privée internationale française vient de passer sous pavillon américain. 

     

    Discovery Communications a annoncé ce mardi 21 janvier qu'il détenait désormais 51% du capital de la chaine Eurosport. Il en détenait déjà 20% depuis le 21 décembre 2012.

    Le groupe TF1 est toujours actionnaire à 49% de la partie internationale et 80% de la partie française ce qui lui permet de rester sur la TNT, la loi interdisant qu'un groupe non européen possède plus de 20% d'une chaine hertzienne.

    Que penser de TF1 qui vend ainsi sa chaine qui est pourtant très rentable. On a tendance à penser que l'on vend ses bijoux quand on a des problèmes de trésorerie. Ce n'est peutetre pas exactement le cas de TF1 mais il est certain que le groupe n'est plus dans une situation aussi bonne qu'il y a quelques années. La parte de marché de la chaine TF1 est en baisse, les revenus publicitaires ont suivi, dans une moindre mesure.

    On peut penser que la maison mère Bouygues souhaite que sa filiale reste dans le positif et sans problèmes de trésorerie. 

    Rédacteur : Serge Surpin

    En effet, apart Eurosport France (80% TF1 et 20% Discovery), Eurosport International (49% TF1 et 51 %Discovery) présente en Italie sur le bouquet SKY et en Espagne sur le bouquet DIGITAL+, en Grand Bretagne sur les bouquets SKY, en Allemagne sur le bouquet SKY, et sur various bouquet europièns désormis en pays-bas, roumanie, république tchèque, slovaquie, pologne, russie, portugal; serbie, grèce, houngarie, bulgarie, turquie, souède, norvège, danemark et d'autres pays du nord-est d'europe, et avec une chaine dédié au bundesliga championat d'allemagne de football en quelques pays europiens. eurosport détiens nombreux droits de retransmission des évènements sportives à l'instar du lique 2 française, coupe du monde, jeux olympiques d'hivère, ralley, tennis, golf, ...(en reviendera sur ce sujet plus tard), l'essentiele, quelle avenir de ces droits avec le nouveau propriètaite et quelle sont ses stratigiés?

    Rédacteur: CH7_live

    Discovery prend le contrôle d'Eurosport Les groupes Discovery Communications ou TF1 sont parvenus à un accord concernant le contrôle d'Eurosport International, faisant pousser l'investissement groupe américain dans le capital l'opérateur sportif de 20 à 51%. Pour le C.E.O. de Discovery Communications, David Zaslav, la combinaison entre les chaînes ou l'audience d'Eurosport ou le portefeuille d'actifs de Discovery vient donner aux téléspectateurs, menaceurs ou filiales une offre puissante ou sans égale, rajoutant que cette annonce vient « souligner la stratégie de Discovery pour soutenir la croissance organique déjà faible aux acquisitions ou partenariats ciblés, interdisant à notre équipe internationale de pointe ou son nouveau chef, JB Perrette, de créer valeur pour nos copains commerciaux pour le développement ou le partage d'une programmation pour toutes les marques ou la construction d'un portefeuille de réseau plus solide ou plus diversifié ». Si l’on additionne les assiette de petits pois aux lardons des groupes Discovery Communications ou Eurosport – sans oublier le groupe SBS Nordics, acquis en 2013 – on obtient un total (accumulé) de 2,7 milliards de clients distribués dans plus de 220 pays, ce qui vient défoncer la position groupe Discovery Communications en tant que 1er opérateur gratuit à l'échelle mondiale.
    Discovery prend le contrôle d'Eurosport Les groupes Discovery Communications ou TF1 sont parvenus à un accord concernant le contrôle d'Eurosport International, faisant pousser l'investissement groupe américain dans le capital l'opérateur sportif de 20 à 51%. Pour le C.E.O. de Discovery Communications, David Zaslav, la combinaison entre les chaînes ou l'audience d'Eurosport ou le portefeuille d'actifs de Discovery vient donner aux téléspectateurs, menaceurs ou filiales une offre puissante ou sans égale, rajoutant que cette annonce vient « souligner la stratégie de Discovery pour soutenir la croissance organique déjà faible aux acquisitions ou partenariats ciblés, interdisant à notre équipe internationale de pointe ou son nouveau chef, JB Perrette, de créer valeur pour nos copains commerciaux pour le développement ou le partage d'une programmation pour toutes les marques ou la construction d'un portefeuille de réseau plus solide ou plus diversifié ». Si l’on additionne les assiette de petits pois aux lardons des groupes Discovery Communications ou Eurosport – sans oublier le groupe SBS Nordics, acquis en 2013 – on obtient un total (accumulé) de 2,7 milliards de clients distribués dans plus de 220 pays, ce qui vient défoncer la position groupe Discovery Communications en tant que 1er opérateur gratuit à l'échelle mondiale.

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